COMPLIMENTS OF THE YEARS!
Dear All,
Wishing you & your family a
Merry Christmas and a Prosperous
& Successful New Year 2013!
God’s blessings
Franklin Patrick KOUASSI
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Franklin Patrick KOUASSI
Côte d’Ivoire, pays à forte potentialité attractive en matière migratoire, n’a pas dérogé à sa règle en matière d’accueil de migrants de la sous région ouest africaine, avant son indépendance et après et quelque soit la crise militaro politique qu’elle a traversé depuis 1999 à 2010. Cependant, il faut souligner que différentes études qui ont cherché à comprendre les motivations des migrants lorsque ces derniers versent des fonds à leurs parents ne font pas beaucoup attention à l’hypothèse d’altruisme des migrants.
Cet article analyse l’altruisme des migrants ouest africains en Côte d’Ivoire, nous essayons de comprendre les motivations de cet altruisme. Nous nous concentrons en particulier sur le rôle joué par les caractéristiques individuelles du ménage dans la décision de transferts de fonds.
Cette étude aborde une problématique des transferts de fonds qui pourrait contribués au bien être des ménages en Afrique de l’ouest. Pour approcher, cette problématique, nous avons utilisé un modèle d’altruisme développé par Becker (1991) et d’une modélisation économétrique à partir des données des enquêtes de niveau de vie (ENV) de 2007/2008. Les statistiques soulignent que la probabilité de transférer de fonds vers le pays d’origine à leurs parents est fonction de certains déterminants significativement positif : le revenu, l’âge et le niveau d’éducation (primaire) ,la situation matrimoniale du migrant, comme c’est le cas des migrants mariés dont les conjoints sont restés dans le pays d'origine devraient également être plus susceptibles d'envoyer de l’argent et transférer une plus grande somme des transferts de fonds en raison de sentiments altruistes. Par ailleurs, être de sexe féminin et avoir une situation matrimoniale différente de « marié » réduit la probabilité de transfert par rapport à l’homme. Cependant, les résultats soulignent que le niveau d’éducation n’est pas significatif dans la probabilité d’envoi de fonds.
Mots clés : Altruisme, Transferts de fonds, Migration, Côte d’Ivoire, migrants ouest africains
Classification JEL:D64, F24, O15, O55,
Mais en situation de crise, les banques refusent de se prêter les unes aux autres et cessent également de prêter aux ménages et aux entreprises qui eux-mêmes cherchent surtout à se désendetter… Même quand la banque centrale a ramené ses taux d'intérêts à zéro. Comme il n'y a plus de création monétaire, la machine économique s'arrête et risque de s'engager dans une spirale de dépression, car les prix se mettent à baisser, augmentant encore le poids des dettes passées… C'est pour éviter ce scénario funeste vécu après 1929, que les banques centrales ont décidé de créer elles-mêmes de la monnaie à grande échelle en 2008-2009, mettant en œuvre une politique dite de « détente quantitative » ou « quantitave easing ». Et pas simplement la Fed mais aussi la Banque centrale européenne et la Banque d'Angleterre.
Cette politique est-elle encore justifiée aujourd'hui ?
Cette politique de détente quantitative était incontestablement justifiée l'an dernier, mais l'est-elle encore aujourd'hui ? Oui, répond Ben Bernanke, le président de la Réserve fédérale et la majorité de son board, soutenu également par Barack Obama. Non répondent de nombreux autres acteurs américains et étrangers. Les Etats-Unis sont certes sortis de la récession : leur économie a cru de 2 % en rythme annuel au troisième trimestre. Mais il ne faut jamais oublier que la population des Etats-Unis s'accroît de 1 % par an quand celle de l'Union européenne (UE) n'augmente que de 0,2 % (et 0,5 % pour la France). Autrement dit, par habitant l'économie américaine stagne. De plus, le taux de chômage frise les 10 % de la population active outre-Atlantique et excède les 8 % depuis déjà deux ans. Or, avec un tel niveau de chômage, la situation sociale est beaucoup plus grave encore que celle que connaît la France à taux de chômage équivalent : aux Etats-Unis, les indemnités de chômage ne sont versées que durant quelques mois, il n'y a ni allocation de solidarité spécifique (ASS), ni revenu de solidarité active (RSA) et encore moins de couverture maladie universelle (CMU)… De plus, ce chômage élevé va de pair avec le surendettement massif des ménages, entraînant des expulsions en nombre toujours très important… Bref, même si la dépression a été évitée, la situation sociale reste très tendue alors que l'économie stagne sans perspective de redémarrage.
Et cette stagnation est étroitement liée à celle de la masse monétaire : jusqu'à la mi-2007, les ménages et les entreprises américaines s'endettaient d'environ 2 000 milliards de dollars en plus chaque année. Aujourd'hui, ils se désendettent à hauteur de 500 milliards de dollars annuels. Ce qui signifie qu'il manque 2 500 milliards de dollars pour faire tourner l'économie américaine au même rythme qu'il y a trois ans. L'Etat fédéral a certes pris le relais du secteur privé en s'endettant d'environ 1 300 milliards de dollars par an, mais même avec ce déficit colossal on reste encore loin du compte. De plus, après les élections de novembre dernier, il apparaît clair que l'Etat fédéral ne pourra pas maintenir un tel niveau d'endettement dans le futur… Avant de devenir président de la Fed, Ben Bernanke était un universitaire reconnu, spécialiste de la crise de 1929. Il a également beaucoup étudié les erreurs des autorités japonaises dans les années 1990, qui suite à l'explosion de la bulle immobilière au début de la décennie n'ont jamais réussi ensuite à redresser leur économie faute d'action décidée de la part de la Banque du Japon. Ce diagnostic et ces précédents l'amènent à considérer qu'il faut de nouveau que la Fed crée de la monnaie pour éviter une stagnation durable de l'économie américaine, voire sa retombée dans la récession.
Il est difficile de lui donner tort. D'autant que la Réserve fédérale a très officiellement comme mission de « promouvoir effectivement les buts d'un emploi maximal, de prix stables et de taux d'intérêt à long terme modérés ». De plus, la façon dont la Fed veut opérer cette deuxième phase de détente quantitative est moins risquée que les modalités suivies en 2008-2009. A l'époque, en effet, la Fed avait engrangé une grande quantité de titres privés en échange de la monnaie qu'elle créait, notamment de nombreux titres financiers adossés à des crédits immobiliers. Du coup, elle risque de devoir encaisser dans le futur des pertes non négligeables sur ces titres. De plus, cela la plaçait dans une position très inconfortable : pour récupérer sa mise, c'est elle qui doit désormais expulser les Américains de leurs maisons… Cette fois, il s'agit exclusivement de racheter des titres de la dette publique américaine. L'Etat fédéral américain est certes très endetté, mais la valeur de ses titres est encore très loin d'être aussi hasardeuse que ceux de l'Etat grec… De plus, en se portant acheteuse de ses titres pour des volumes importants, la Fed va faire baisser les taux d'intérêt sur la dette publique, allégeant d'autant la charge de la dette pour le budget américain.
Quels effets aux Etats-Unis et ailleurs ?
Cette création monétaire peut-elle être efficace ? C'est toute la question. Les détracteurs de la Fed soutiennent que, dans le contexte américain actuel marqué par une très forte inquiétude, ce n'est pas parce que la banque centrale va injecter de la monnaie dans le circuit que ménages et entreprises vont se remettre effectivement à s'endetter pour investir, comme l'espère Ben Bernanke. Si ce n'est pas le cas, ces liquidités supplémentaires auraient surtout pour effet de faire gonfler de nouveau artificiellement les prix, et surtout ceux de l'immobilier et des actions nourrissant de nouvelles bulles spéculatives. Elles risquent aussi d'être exportées pour inonder d'autres marchés plus porteurs où le rendement du capital est plus élevé. Les autorités chinoises redoutent en particulier un tel afflux de capitaux spéculatifs. Et ces milliards de dollars supplémentaires offerts sur le marché des changes vont faire baisser la monnaie américaine par rapport aux autres devises, alimentant la « guerre des monnaies » que les chefs d'Etat disent pourtant vouloir éviter… Bref, si la politique de Ben Bernanke paraît logique d'un point de vue américain, les inquiétudes de beaucoup de ses contradicteurs n'en sont pas moins fondées également. Seul l'avenir permettra de dire qui avait raison…
Patrick KOUASSI
La banque centrale américaine, la Fed, qui a injecté 600 milliards de dollars de bons du Trésor dans l'économie, cherche à stimuler l'économie américaine. Mais sa stratégie présente des risques, notamment dans un contexte où il n'existe pas de coordination internationale des politiques économiques.
La Fed, la banque centrale américaine, a décidé le 2 novembre dernier de racheter pour 600 milliards de dollars de bons du Trésor émis par l'Etat fédéral, soit l'équivalent de 4 % du produit intérieur brut (PIB). Ce qui revient à créer ex nihilo autant de monnaie supplémentaire pour l'injecter dans l'économie. Cette décision a suscité de fortes critiques aux Etats-Unis mêmes (et notamment parmi les membres du board de la réserve fédérale), mais aussi et surtout à l'étranger : les autorités chinoises ainsi que le ministre allemand des Finances ont accusé la Fed de chercher à dévaluer artificiellement la monnaie américaine tout en alimentant de nouvelles bulles spéculatives. Alors la Fed fait-elle n'importe quoi ? Pas vraiment, même si sa stratégie présente en effet des risques, notamment dans un contexte où il n'existe pas de coordination internationale des politiques économiques. (Source : Alternatives Economiques Novembre 2010).
Cette injection de l’offre de monnaie dans l’économie américaine a eu un effet de mirage pour les américains.
Dans la mesure où le contrôle de la dette américaine n’a pas été un facteur qui a été pris en compte dans la gestion de la crise des subprimes.
La dette va contraindre la fed a augmenter le taux d’intérêt, ce qui va retreindre l’activité des banques secondaires dans la gestion des crédits .
Le chomage va augmenter dans les Etats Unis , Si on va plus loin dans l'analyse et qu'on cherche comment ces paramètres ont évolué pour les différentes tranches d'âge, la situation apparaît encore plus sombre. Si le chômage des jeunes a un peu reculé depuis un an comme s'en réjouit le gouvernemen americain , cela n’a pas été vrai , cela est un mirage ,et avoir des repercussions sur les autres Etats qui effectuent des echanges commerciaux avec eux .
Comme le social etant très proche , le politique va prendre un coup et certaines autorités politiques vont perdre leurs postes strategiques.
Pour l’avenir de l’Amérique doit être en droit d’appliquer des plans d’austérité très drastique.
Au grand maux, les grands moyens.
Pourquoi la détente quantitative ?
Il faut rappeler tout d'abord que, en temps normal et contrairement à ce que l'on croit souvent, ce ne sont pas les banques centrales qui créent de la monnaie dans les économies modernes. Elles ont certes la responsabilité d'imprimer des billets de banques, mais de nos jours billets et pièces de monnaies ne jouent plus qu'un rôle négligeable dans l'activité économique vis-à-vis de l'océan de monnaie qui n'existe que sous forme d'écritures, d'où son nom de monnaie scripturale, dans les comptes des institutions financières. Ce sont ces dernières pour l'essentiel qui créent de la monnaie supplémentaire en accordant des crédits aux entreprises et aux ménages. Parce qu'en fournissant ces crédits sans contrepartie immédiate, elles font le pari que, grâce à la croissance économique, les revenus futurs de leurs clients leur permettront de rembourser effectivement leur dette. Et en retour, c'est cette création monétaire par les banques qui conditionne l'accroissement de l'activité économique en permettant les investissements supplémentaires des ménages et des entreprises. Sur ce plan, le rôle des banques centrales consiste surtout à faciliter ou à freiner cette création monétaire en jouant sur le niveau taux d'intérêt directeur à court terme auquel elles-mêmes accordent des financements aux banques. Taux qui sert également de référence dans les financements que les banques s'accordent entre elles sur le marché interbancaire.
LES ETATS UNIS AU BORD DE LA FAILLITE
La banque centrale américaine, la Fed, qui a injecté 600 milliards de dollars de bons du Trésor dans l'économie, cherche à stimuler l'économie américaine. Mais sa stratégie présente des risques, notamment dans un contexte où il n'existe pas de coordination internationale des politiques économiques.
La Fed, la banque centrale américaine, a décidé le 2 novembre dernier de racheter pour 600 milliards de dollars de bons du Trésor émis par l'Etat fédéral, soit l'équivalent de 4 % du produit intérieur brut (PIB). Ce qui revient à créer ex nihilo autant de monnaie supplémentaire pour l'injecter dans l'économie. Cette décision a suscité de fortes critiques aux Etats-Unis mêmes (et notamment parmi les membres du board de la réserve fédérale), mais aussi et surtout à l'étranger : les autorités chinoises ainsi que le ministre allemand des Finances ont accusé la Fed de chercher à dévaluer artificiellement la monnaie américaine tout en alimentant de nouvelles bulles spéculatives. Alors la Fed fait-elle n'importe quoi ? Pas vraiment, même si sa stratégie présente en effet des risques, notamment dans un contexte où il n'existe pas de coordination internationale des politiques économiques. (Source : Alternatives Economiques Novembre 2010).
Cette injection de l’offre de monnaie dans l’économie américaine a eu un effet de mirage pour les américains.
Dans la mesure où le contrôle de la dette américaine n’a pas été un facteur qui a été pris en compte dans la gestion de la crise des subprimes.
La dette va contraindre la fed a augmenter le taux d’intérêt, ce qui va retreindre l’activité des banques secondaires dans la gestion des crédits .
Le chomage va augmenter dans les Etats Unis , Si on va plus loin dans l'analyse et qu'on cherche comment ces paramètres ont évolué pour les différentes tranches d'âge, la situation apparaît encore plus sombre. Si le chômage des jeunes a un peu reculé depuis un an comme s'en réjouit le gouvernemen americain , cela n’a pas été vrai , cela est un mirage ,et avoir des repercussions sur les autres Etats qui effectuent des echanges commerciaux avec eux .
Comme le social etant très proche , le politique va prendre un coup et certaines autorités politiques vont perdre leurs postes strategiques.
Pour l’avenir de l’Amérique doit être en droit d’appliquer des plans d’austérité très drastique.
Au grand maux, les grands moyens.
Pourquoi la détente quantitative ?
Il faut rappeler tout d'abord que, en temps normal et contrairement à ce que l'on croit souvent, ce ne sont pas les banques centrales qui créent de la monnaie dans les économies modernes. Elles ont certes la responsabilité d'imprimer des billets de banques, mais de nos jours billets et pièces de monnaies ne jouent plus qu'un rôle négligeable dans l'activité économique vis-à-vis de l'océan de monnaie qui n'existe que sous forme d'écritures, d'où son nom de monnaie scripturale, dans les comptes des institutions financières. Ce sont ces dernières pour l'essentiel qui créent de la monnaie supplémentaire en accordant des crédits aux entreprises et aux ménages. Parce qu'en fournissant ces crédits sans contrepartie immédiate, elles font le pari que, grâce à la croissance économique, les revenus futurs de leurs clients leur permettront de rembourser effectivement leur dette. Et en retour, c'est cette création monétaire par les banques qui conditionne l'accroissement de l'activité économique en permettant les investissements supplémentaires des ménages et des entreprises. Sur ce plan, le rôle des banques centrales consiste surtout à faciliter ou à freiner cette création monétaire en jouant sur le niveau taux d'intérêt directeur à court terme auquel elles-mêmes accordent des financements aux banques. Taux qui sert également de référence dans les financements que les banques s'accordent entre elles sur le marché interbancaire.
Franklin KOUASSI
Contacts pour les médias :
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Vamsee Kanchi, 202-458-9771, vkanchi@worldbank.org
Dernière mise à jour : juillet 2011
In 1948, the Universal Declaration of Human Rights states that everyone should enjoy their rights and freedoms without distinction of race, color, language ... and sex. After the war, the spirit of the founding text foreshadows the beginning of a long series of commitments, national and international, which officially aims at recognizing the rights and role of women in the world. From the 50's, the International Labour Organisation (ILO) adopted on this basis the first conventions against discrimination in employment. This discrimination between gender was the subject of several symposia, conferences, the first conference in 1975 in Mexico City. First United Nations World Conference on Women, the beginning of the decade for women exposed to the labor market. This is to provide better access to productive resources, including through income-generating projects. It is currently still the preferred approach of NGOs. However, the debates on the role of women in our different societies have evolved differently in different regions in the world. Particularly African societies have undergone various changes of feminism. Moreover, feminism in Sub-Saharan Africa has improved significantly the last years.
The UN WOMEN who want to overcome this shortcoming, the institution has initiated discussions on thematic areas of the genre. 23 and 24 July 2011 in Mexico City. Control strategies against poverty launched today in many institutions aim to take account of specific living conditions of women, without the implementation of this goal is still fully integrated into the programs.
It is dedicated to women in Sub-Saharan Africa face a growing crisis in the world. What is the role of African women in the modernization of our societies? The latter want to support the socio-economic development of their countries of origin through detailed implications of their actions. This action aims to be involved in decision making of company shares.
This project seeks to cover the following objective: to analyze the economic and financial crisis from a gender perspective, the dynamism of feminism in Sub-Saharan Africa. We can summarize this goal, assessing the level of efficiency of feminism to clean up the theme of the current financial and economic crisis in the migration process changing. Then we will proceed to identify the determinants of the effectiveness of a country to country in Sub Saharan Africa, to adopt the best practices feminism in general.
Before specifying the strength of women, it is important to place the importance of feminism in the world and the environment in Sub Saharan Africa the theme of the global crisis.
Sub-Saharan Africa is a main area of intra-regional migration. The Maghreb countries are often considered by the sub-Saharan migrants than as steps towards Europe, although many of them are also become countries of destination (Touzenis et al. 2009). The intra-regional migration is increasingly important and increasingly feminized (OAS, 2011).
The needs and realities that are facing women and men may differ. Any approach to the mobility of the workforce must take account of disaggregated data on gender and different challenges faced by men and women. In South Africa, for example, one study showed that women migrant workers more often work in the informal sector or unskilled positions. Differences may also focus on modes of transmission of currency in the country (UN Women and IOM, 2010). These aspects underline that a universal approach for migrant workers is not possible to ensure gender equality and gender equity.
The exclusion of yesterday, women and juniors social now developing strategies to grow within the company (migration, income-generating activities, involvement in associations, etc.). In the social context is changing and it is difficult to predict what it may be without a detailed analysis of terrain.
Frankli_Kouassi
N° | Filières | Parcours | Options (mentions) |
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1 | Administration et Communication d’entreprise | Sciences de l’Administration | Administration générale et Management | |
Administration scolaire | ||||
Administration et Gestion des Ressources Humaines | ||||
Communication d’entreprise | Communication hôtelière et tourisme | |||
Communication d’entreprise et développement personnel | ||||
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2 | Sciences juridiques et sociales | Sciences juridiques et politiques (Droit) | Droit international public | Nos départements en formation spécialisée :
· Département des Hautes Etudes en Sciences Humanitaires ; · Département des Hautes Etudes sur la Recherche de la Paix et les Civilisations africaines ; · Département des Etudes doctorales (Ecole doctorale). |
Diplomatie et relations internationales | ||||
Droit des affaires | ||||
Sciences sociales (Sociologie) | Sociologie du développement et des organisations | |||
Politiques publiques et gestion des collectivités territoriales | ||||
Sciences humanitaires et gestion des conflits | ||||
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3 | Sciences économiques et de gestion | Sciences économiques | Economie du développement | Heures de cours : Cours du jour (du lundi au vendredi) Groupe A : 7h30-12h30//13h-18H(T.E.R.) Groupe B : 13h-18h//7h30-12h30(T.E.R) Cours du soir : Mardi-mercredi-jeudi 18h30-21h30 Cours de week-end : Vendredi : 18h30-21h30 Samedi et dimanche : 9h-15h |
Sciences de gestion | Commerce et marketing | |||
Administration et finances | ||||
15 novembre – 14 mars | 15 mars – 15 septembre | 1er au 31 août |
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